Le tatouage, elle l’envisage comme une thérapie. La sienne, d’abord, mais aussi celle des autres. À 40 ans, Alexia Cassar, jusque-là habituée des services d’oncologie, a opéré une reconversion professionnelle. Pionnière en France, la...
Le tatouage, elle l’envisage comme une thérapie. La sienne, d’abord, mais aussi celle des autres. À 40 ans, Alexia Cassar, jusque-là habituée des services d’oncologie, a opéré une reconversion professionnelle. Pionnière en France, la...