Une « très belle avancée » pour les associations accompagnant les parents dans le deuil périnatal car jusqu’à présent, seul un prénom symbolique pouvait être donné à un·e enfant mort-né·e.
« L’enfant né sans vie n’est pas rien. Il appartient à la famille » plaidait le ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti, lors du vote de la loi au Parlement le mois dernier. Avec la parution, ce 7 décembre, de l’article au Journal officiel, un·e enfant mort-né·e pourra désormais porter le nom de famille de ses parents. Cette mesure vise selon le garde des Sceaux[…]