
Surprise ! Le documentaire de Julien Faraut s’ouvre sur un court-métrage animé. Signé Yoshitaro Kataoka, datant de 1935, il met en scène une femme aux pouvoirs surnaturels… Une entrée en matière originale et créative, qui n’est pas sans rapport, évidemment, avec le sujet de son film. De fait, Les Sorcières de l’Orient retrace l’épopée de femmes exceptionnelles, à une différence près : elles ont bel et bien existé.
Après s’être plongé dans le Roland-Garros de John McEnroe dans L’Empire de la perfection (2018), le réalisateur[…]