Alors que mardi, la rapporteuse de la proposition de loi s'était démise en dénonçant un manque d'ambition, les député·es n'ont pas pu aller jusqu'au bout de sa lecture dans le temps qui leur était imparti, jusqu'à jeudi soir.
L’examen de la loi « bien vieillir » a été suspendu jeudi 13 avril sans que les député·es aient pu aller jusqu'au bout de la lecture du texte, indique Sud Ouest. Cette suspension sans nouvelle date de poursuite des travaux intervient après de sérieux couacs, dont le coup de gueule, mercredi 12 avril, de celle qui, jusque là, était rapporteuse du texte. Pourtant élue de la majorité, la députée de Haute-Garonne Monique Iborra a jeté l'éponge face au manque d'ambition du texte. « Je voulais voir de vraies réformes », a‑t-elle justifié auprès de l'AFP selon 20 Minutes, avant de tacler : « Je me suis rendu compte qu’on n’était pas sur la même planète » avec le ministre des Solidarités Jean-Christophe Combe. Ce dernier a d'ailleurs promis que la poursuite de l'étude du texte serait programmée[…]