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La députée Renaissance Monique Iborra, le 7 mars à l'Assemblée © Capture d'écran du site de l'Assemblée

Loi « bien vieillir » : jugé déce­vant par beau­coup, le texte n'a pas pu être étu­dié dans sa tota­li­té à l'Assemblée

Alors que mar­di, la rap­por­teuse de la pro­po­si­tion de loi s'était démise en dénon­çant un manque d'ambition, les député·es n'ont pas pu aller jusqu'au bout de sa lec­ture dans le temps qui leur était impar­ti, jusqu'à jeu­di soir.

L’examen de la loi « bien vieillir » a été sus­pen­du jeu­di 13 avril sans que les député·es aient pu aller jusqu'au bout de la lec­ture du texte, indique Sud Ouest. Cette sus­pen­sion sans nou­velle date de pour­suite des tra­vaux inter­vient après de sérieux couacs, dont le coup de gueule, mer­cre­di 12 avril, de celle qui, jusque là, était rap­por­teuse du texte. Pourtant élue de la majo­ri­té, la dépu­tée de Haute-​Garonne Monique Iborra a jeté l'éponge face au manque d'ambition du texte. « Je vou­lais voir de vraies réformes », a‑t-​elle jus­ti­fié auprès de l'AFP selon 20 Minutes, avant de tacler : « Je me suis ren­du compte qu’on n’était pas sur la même pla­nète » avec le ministre des Solidarités Jean-​Christophe Combe. Ce der­nier a d'ailleurs pro­mis que la pour­suite de l'étude du texte serait programmée[…]

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