Au programme de ce film présenté à la Quinzaine des réalisateurs au festival de Cannes : une masculinité toxique intense, viscérale et terrifiante.
Trauma et paranoïa font généralement bon ménage dans les films de genre, surtout quand ils manient les codes de l’épouvante. Il est moins courant, en revanche, d’y trouver un message féministe. Sauf quand ledit film est signé Alex[…]