À Strasbourg, des jeunes soupçonné·es de radicalisation sont pris en charge par la Maison des adolescents, qui a décidé d’aborder le problème à contre-courant d’une politique judiciaire et répressive.
« Les radicalisés en prison ont regardé davantage de vidéos de décapitation que de prêches religieux »
La chercheuse Sabine Riss nous raconte sa thèse sur les jeunes hommes détenus dans les prisons de la région marseillaise pour des faits de radicalisation.