matthew henry
© Matthew Henry

Comment faire des ren­contres amou­reuses quand on est les­bienne et qu’on vit à la campagne ?

Aventure d’un soir ou grande his­toire d’amour ? Pour se poser la ques­tion, encore faut-​il ren­con­trer quelqu’un. Et pour celles qui aiment les femmes et habitent dans de petites villes ou à la cam­pagne, ce n’est pas tou­jours simple. Parce qu’il y a peu de les­biennes ou de bisexuelles à proxi­mi­té, et encore moins de lieux de socia­bi­li­té où les ren­con­trer, elles doivent s’adapter.

« Ici, c’est beau­coup plus dif­fi­cile de faire des ren­contres que dans une grande ville », observe Max, 24 ans et les­bienne. Elle habite en Corrèze. À Tulle plus pré­ci­sé­ment, une petite ville d’environ 14 000 habi­tants. « Proportionnellement, il y a beau­coup moins de per­sonnes queer. Et puis tu ne les vois pas for­cé­ment… Les pro­ba­bi­li­tés de trou­ver quelqu’un dans ma ville sont donc très minces : il faut déjà ren­con­trer quelqu’un et ensuite qu’on soit com­pa­tibles ! » ajoute-​t-​elle. En effet, s’il n’est aisé pour per­sonne de faire des ren­contres amou­reuses en pleine dia­go­nale du vide, cela peut être encore plus com­pli­qué pour les femmes qui aiment les femmes. Car dans ces espaces peu peu­plés, elles sont moins nom­breuses : « Nous ne pos­sé­dons pas de don­nées chif­frées, mais il semble que la répar­ti­tion des per­sonnes LGBT soit pro­por­tion­nelle à la[…]

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