Nadia Tereszkiewicz
Nadia Tereszkiewicz © Wikimedia

Nadia Tereszkiewicz : “Rosalie casse les codes du genre et du désir”

S’inspirant de l’histoire vraie d’une femme à barbe du XIXe siècle, Rosalie raconte le par­cours de liber­té d’une jeune femme dif­fé­rente. Un récit aux réso­nances très actuelles, por­té par Nadia Tereszkiewicz, incan­des­cente dans le rôle-​titre. Explications avec cette jeune actrice… pas comme les autres, elle non plus.

Causette : Rosalie, le film de Stéphanie Di Giusto, s’inspire libre­ment d’une his­toire vraie, celle de Clémentine Delait, tenan­cière de bar atteinte d’hirsutisme, qui ces­sa volon­tai­re­ment de se raser à l’âge de 36 ans, en 1901, et devint très célèbre. La connaissiez-​vous avant de vous lan­cer dans cette aven­ture ?
Nadia Tereszkiewicz : Très peu. J’en avais enten­du par­ler à tra­vers Les Culottées, la BD de Pénélope Bagieu, mais je ne savais pas grand-​chose de plus. Cela dit, même si Stéphanie est effec­ti­ve­ment par­tie de cette his­toire, elle a tenu à s’en déta­cher. Je me sou­viens de cette phrase, qu’elle avait pour me par­ler du film et de son héroïne et qui défi­nit bien sa posi­tion et son regard : “Rosalie, c’est pas des poils, c’est des sen­ti­ments !” Plutôt que de me cal­quer sur Clémentine, je me[…]

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