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Avec "Cahiers noirs", le ciné­ma se fait plus fort que la mort

Entre fic­tion et docu­men­taire, Cahiers noirs rend un hom­mage déchi­rant à Ronit Elkabetz, actrice et cinéaste incan­des­cente trop tôt dis­pa­rue. Rencontre avec Shlomi Elkabetz, son frère, son com­plice, son pre­mier fan, et l’auteur de ce remar­quable dip­tyque qui résonne comme un hymne à la vie…

Causette : Le titre de votre film, Cahiers noirs, est assez mys­té­rieux. Quel sens avez-​vous vou­lu lui don­ner ?
Shlomi Elkabetz : Cela fait 30 ans que j’écris dans des cahiers. Je dois en pos­sé­der une cen­taine. Ronit fai­sait pareil. Attention, rien à voir avec un jour­nal ! Dans un cahier, tu peux aus­si bien écrire des choses banales, comme pen­ser à payer la note d’électricité, qu’y dépo­ser des réflexions sur de grands sujets comme la mort, la nais­sance, la femme, la reli­gion. C’est exac­te­ment ce que j’ai vou­lu faire dans mon film. Relier des moments[…]

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