Mercredi, au cours de l’examen de la loi d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur (LOPMI), l'Assemblée nationale s'est positionnée en faveur d'un durcissement de la verbalisation des outrages sexistes et de la création d'un délit pour outrage « aggravé », sanctionné d’une amende de 3750 euros.
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