Très attendus, les débats autour d'une "aide à mourir" ne se réduiront pas aux clivages partisans traditionnels à l'Assemblée nationale, où les député·es de tous bords seront libres de leur vote face à un choix sociétal touchant à l'intime.
Les groupes politiques ne donneront pas de consignes à leurs membres pour l’examen du projet de loi sur la fin de vie, qui doit commencer le 27 mai dans l’hémicycle après sa présentation le 10 avril en Conseil des ministres. “Il devrait y avoir une majorité conséquente pour le voter”, estime le député Olivier Falorni (MoDem, majorité présidentielle), pressenti dans le rôle clé de rapporteur général de la commission spéciale prévue au Palais Bourbon.
Gauche et camp présidentiel[…]