Un seul en scène sur une émancipation féminine, une pièce sur la non-reconnaissance de paternité, l’histoire d’une femme dévorée par les servitudes du quotidien et l'adaptation d'un grand classique de la BD féministe : voici nos recos théâtre du moment.
“L’Odeur de la guerre”
Devant le succès et le bouche-à-oreille dont il bénéficie (à juste titre), ce seul en scène poignant sur la trajectoire d’une jeune femme face aux intempéries de la vie joue les prolongations à Paris. Pour lire notre chronique, c’est juste ici.
L’Odeur de la guerre, de et avec Julie Duval. À La Scala, à Paris. Du 9 janvier au 30 mars. Du mardi au mercredi à 21 h 30, le samedi à 21 h 30. À partir de février, le dimanche à 17 h 30.
“Nos âmes faibles”
Après avoir exploré les dédales de la maternité dans Notre sang, la compagnie Lilalune revient sur scène avec Nos âmes faibles. Une pièce chorale et percutante sur la non-reconnaissance de paternité. Pour lire l’article en entier, c’est par ici.
Nos âmes faibles, de Nathalie Matti. Avec Marie Bringuier, Lucile Chevalier, Charlotte Dupont, Nathalie Matti et Marie-Émilie Michel. À la Manufacture des Abesses, à Paris. Du 22 janvier au 14 février. Les lundis, mardis, mercredis à 21 heures et les dimanches à 20 heures.
“La femme à qui rien n’arrive”
Une femme seule sur scène, Léonore Chaix, dévorée par la charge mentale et les tâches quotidiennes. Et qui s’en émancipe. Cliquez juste ici pour lire notre chronique.
La femme à qui rien n'arrive, de et avec Léonore Chaix, mise en scène d’Anne Le Guernec. Du 6 février au 20 mars, à La Scala, à Paris.
“Les Culottées”
Immenses succès de librairie, les deux tomes de cette bande dessinée dédiée aux parcours remarquables d’héroïnes oubliées de l’Histoire se sont érigés en quelques années en grands classiques de la BD féministe. Les Culottées de Pénélope Bagieu débarquent aujourd’hui sur scène, sous la forme d’une pièce de théâtre, mis en scène par Justine Heynemann, à la Comédie-Française. Pour lire notre chronique, c'est par ici.
Les Culottées, de Pénélope Bagieu, mise en scène de Justine Heynemann. Du 25 janvier au 3 mars, à la Comédie-Française, à Paris.
