Les rou­tières sont sympas

annie sedlegger
Annie Sedlegger dit L’Ouragan. © Serge Picard

Sans eux, sans elles, le pays se serait arrê­té de tour­ner. Pourtant, la crise sani­taire n’a don­né lieu à aucun grand baroud d’honneur envers les rou­tiers et les rou­tières. Au contraire, elle a révé­lé avec éclat le mépris de la socié­té envers cette pro­fes­sion plus mal aimée que jamais. Un métier déva­lué, où les femmes, invi­sibles par­mi les invi­sibles, se sont peu à peu taillé une place, à force de volon­té et de pas­sion.
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annick niquet 1

La "camion­neuse", his­toire d'un cliché

Les cli­chés hété­ros vont jusqu’à faire de « camion­neuse » un pur syno­nyme – péjo­ra­tif – de « les­bienne ». Mais au fait, d'où vient ce terme ? Et pour­quoi il est un cli­ché sur pattes ? © Serge Picard « J’écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les camion­neuses […], toutes les exclues du grand… 

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Des pseu­dos beaux comme les camions

Jacky42, L'Ouragan, Ange66 ou Fantastique : les pseu­dos des routier·ères, c'est tout une his­toire. Simples ou créa­tifs, ils en disent tou­jours beau­coup. C'est presque des mes­sages ambu­lants ins­crits sur une fausse plaque d'immatriculation. Prêtez‑y atten­tion : sur l’autoroute des vacances, vous en croi­se­rez des lumi­neux ou d’autres auréo­lés de guir­landes, de franges,… 

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