
Sans eux, sans elles, le pays se serait arrêté de tourner. Pourtant, la crise sanitaire n’a donné lieu à aucun grand baroud d’honneur envers les routiers et les routières. Au contraire, elle a révélé avec éclat le mépris de la société envers cette profession plus mal aimée que jamais. Un métier dévalué, où les femmes, invisibles parmi les invisibles, se sont peu à peu taillé une place, à force de volonté et de passion.
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