La jeunesse est en grève ! Depuis l’automne, des adolescent·es manifestent chaque semaine contre l’inaction climatique des gouvernements. À Paris, à Bruxelles et dans le reste monde, ils et elles sont bien décidé·es à mettre les adultes face à leurs responsabilités.
Cette mobilisation sans précédent réjouit autant qu'elle interroge : le champ du politique et de la contestation est-il vraiment la place des adolescents ? N'avons-nous pas manqué à nos devoirs d'adultes pour que nos enfants soient obligés de prendre la relève plutôt que jouer à la marelle ou connaître leurs premiers émois amoureux ? D'autant qu'ils et elles s'emparent d'autres sujets (lutte contre les armes à feu, droits des femmes, pauvreté) bien plus larges que les seules préoccupations environnementales. Dossier.
La jeunesse est en grève ! Depuis l’automne, des adolescent·es manifestent chaque semaine contre l’inaction climatique des gouvernements. Reportage.
Lutte contre le changement climatique, les armes à feu, la misère ou encore les mutilations génitales et mariages forcés : la relève est là et compte bien se faire entendre de ses aîné·es.
Le journaliste Vincent Cocquebert vient de publier Millennial Burn-out, une enquête où il dynamite les stéréotypes dans lesquels on veut enfermer la jeune génération.
Notre collaboratrice a de plus en plus de mal à cohabiter avec un Pablo Servigne tyrannique miniature.
En 1992, au Sommet de la Terre à Rio de Janeiro (Brésil), une ado prend la parole face aux puissant·es de ce monde et marque l'Histoire.
Greta Thunberg, Ahed Tamimi, Malala Yousafzai… si les voix de ces enfants sont audibles, n’est-ce pas parce qu’elles servent les intérêts d’adultes ?