Face à l’essor des dérives sectaires, le Parlement a définitivement adopté mardi un nouveau délit visant notamment les “gourous 2.0” et leurs prétendus remèdes miracles promus sur Internet. Une mesure controversée sur fond d’inquiétudes pour la liberté d’expression.
Ce mardi soir, le Parlement a officiellement adopté un délit visant notamment les “gourous 2.0” et leurs prétendus remèdes miracles promus sur Internet. Député·es et sénateur·rices n’étant pas parvenu·es à s’accorder sur cette disposition sensible, c’est l’Assemblée nationale qui a eu le dernier mot. Elle a définitivement adopté ce texte, porté par le gouvernement, mardi soir, avec 146 voix contre 104.
Pour mieux lutter contre des promesses dangereuses comme celles d’une[…]