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© Clay Banks / Unsplash

IVG ins­tru­men­tales : les sages-​femmes dénoncent une demi-avancée

Depuis dimanche, les sages-​femmes peuvent pra­ti­quer des IVG ins­tru­men­tales en milieu hos­pi­ta­lier, mais seule­ment si quatre méde­cins sont aus­si présent·es sur site. Les professionnel·les dénoncent une attaque "insi­dieuse" à l’IVG.

L’annonce est enfin tom­bée au Journal offi­ciel. Depuis dimanche der­nier, les sages-​femmes peuvent pra­ti­quer des inter­rup­tions volon­taires de gros­sesse (IVG) ins­tru­men­tales en milieu hos­pi­ta­lier, jusqu’à 14 semaines de gros­sesse. L’intervention, qui consiste à aspi­rer le conte­nu de l’utérus après dila­ta­tion du col, est réa­li­sée sous anes­thé­sie locale ou géné­rale. Elle n’était pra­ti­quée jusqu’à pré­sent que par les méde­cins tan­dis que les sages-​femmes étaient déjà habi­li­tées à pra­ti­quer l’IVG médi­ca­men­teuse depuis 2016.

Votée dans la loi "Gaillot" de mars 2022 visant à ren­for­cer le droit à l’avortement, la mesure devait "consti­tuer une réponse forte aux difficultés[…]

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