Déjà privées d’école secondaire et de la plupart des emplois publics, les Afghanes ne peuvent désormais plus se rendre dans les salles de sport et les bains publics. Un effacement des femmes de la vie publique de plus, alors même que le mouvement fondamentaliste est revenu dimanche soir à une interprétation ultra-rigoriste de l’islam.
La chape de plomb qui s’est abattue sur les Afghanes, depuis le retour des talibans en août 2021, s’est une fois de plus alourdie. Après leur exclusion des parcs et jardins de Kaboul, elles n’auront désormais plus le droit d’accéder aux salles de sport et aux bains publics, ont annoncé les autorités talibanes, dimanche 13 novembre. « Les salles de sport sont fermées aux femmes parce que leurs entraîneurs étaient des hommes et que certaines [des salles][…]