Dans une tribune publiée mardi dans Libération et motivée par la gestion de l'affaire Quatennens à La France insoumise, plus de 550 militantes féministes dénoncent les atermoiements des partis face aux accusations de violences de genre dont de nombreux hommes politiques font l'objet.

« Les féministes alarmé·e·s guettent les réactions des cadres du parti qui, eux, regardent leurs pompes. » Dans une tribune publiée dans Libération mardi 20 septembre et intitulée Violences sexistes et sexuelles : l’impunité est révolue, place à la relève féministe, un nouveau collectif du nom de #RelèveFéministe pourfend la gestion par les partis politiques des affaires de violences sexuelles et sexistes. Plus de 550 militantes féministes y dénoncent une « omerta qui perdure grâce à des complicités, des comportements et une lâcheté connivente ».
"Une gifle est un acte de violence physique"
En ligne de mire, évidemment, les réactions de soutien au député Adrien Quatennens, accusé de violences conjugales, de la part de certain·es membres de La France insoumise (LFI) et parmi elles, « les propos[…]