Saisi par la première ministre en juillet à la suite de l'affaire Daraï, le Comité consultatif national d'éthique vient d'émettre un avis qui émet une série de recommandations pour renouveler une relation patiente-gynécologue de fait « asymétrique ».
Dans le cadre d'une consultation gynécologique, « le consentement [de la patiente] ne doit plus être tacite ou présumé, mais explicite et différencié pour chaque examen ». C'est l'avis que le Comité consultatif national d'éthique (CCNE) a rendu ce mercredi 29[…]