person holding fuck your abortion ban printed banner
Manifestation pour l'accès au droit à l'avortement ©Claudio Schwarz

En Pologne, les réfu­giées ukrai­niennes vic­times de viol se heurtent à la loi anti-ivg

En Pologne, la loi empêche les réfu­giées ukrai­niennes d’avorter alors que nombre d’entre elles ont été vio­lées par des sol­dats russes ou des héber­geurs polonais.

« J’ai été vio­lée en Ukraine, je suis en Pologne main­te­nant et j’ai besoin d’aide. » « Il me faut une contra­cep­tion d’urgence mais la liste d’attente à l’hôpital polo­nais est de deux semaines. Je ne veux pas être enceinte dans un pays étran­ger pen­dant la guerre, que dois-​je faire ? » Des mes­sages comme ceux-​là, la jour­na­liste ukrai­nienne Nastya Podorozhnya en a reçu des dizaines sur la pla­te­forme Martynka, une ligne d’assistance télé­pho­nique via Télégram qu’elle a récem­ment mis en place pour aider les ukrai­niennes réfu­giées en Pologne. « On reçoit de plus en plus de ques­tions de refu­giées liées à la contra­cep­tion d’urgence ou à un avor­te­ment en Pologne », indique la jour­na­liste ,qui vit en Pologne depuis plu­sieurs années, dans les colonnes du média ukrai­nien Zaborona« Quatre-​vingt-​dix-​neuf Ukrainiennes m’ont déjà contac­tée depuis le 1er mars[…]

Vous êtes arrivé.e à la fin de la page, c’est que Causette vous passionne !

Aidez nous à accom­pa­gner les com­bats qui vous animent, en fai­sant un don pour que nous conti­nuions une presse libre et indépendante.

Faites un don

La suite est réservée aux abonné·es.

identifiez-vous pour lire le contenu

ou

abonnez-vous

 

Partager
Articles liés