La loi portée par la députée LREM Laurence Vanceunebrock crée un nouveau délit dans le Code pénal, punissant les personnes qui pratiquent des « thérapies de conversion » de deux ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende.
Les « thérapies de conversion » tomberont désormais sous le coup de la loi. Le Parlement a adopté définitivement, à l’unanimité (142 voix), ce 25 janvier, la proposition de loi les interdisant. Des pratiques qui visent, dans leur majorité, à imposer l’hétérosexualité aux personnes lesbiennes, gay et bi en réprimant leur orientation sexuelle par un ensemble de traitements pseudoscientifiques appliqués par certaines[…]