Depuis #MeToo, quand des personnalités féminines sont interrogées sur leur rapport au féminisme, on assiste souvent, dans les interviews, à des contorsions acrobatiques, des triples axels double looping qui finissent généralement par se vautrer sur cette figure : « Je suis féministe, mais ». Quand vous lisez cette phrase, vous pouvez effacer la première partie. Tout ce qui compte, c’est la seconde. D’ailleurs, essayez avec d’autres mots. « Je ne suis pas raciste, mais » « je ne suis pas homophobe,[…]
