Avis de tempête dans l’industrie musicale. Les Victoires de la musique, qui se sont déroulées en février, en sont la preuve. Jamais elles n’auront été aussi politiques. À l’image de la petite révolution en cours dans la profession.
Non seulement les femmes – artistes célèbres comme pros de l’ombre – n’hésitent plus à dénoncer le sexisme qui ronge ce milieu depuis toujours, mais en plus, elles portent, dans leurs textes ou dans les médias, des combats toujours plus engagés. Les plus téméraires tracent même leur route hors des majors pour conserver toute leur liberté. La vie devant elles !
Elles dénoncent le harcèlement sexiste, s’élèvent contre les violences policières, assument leur homosexualité… À une époque où la parole des artistes reste largement muselée, ce sont des femmes qui osent aujourd’hui donner de la voix sur des questions politiques. Et ce n’est pas tout à fait un hasard.
De France Gall à Alizée, les « fausses ingénues », bien souvent créées de toutes pièces par les maisons de disque, ont longtemps rempli les caisses de l’industrie musicale. Retour sur un genre qui, ces dernières années, grâce au streaming, à #MeToo et à l’autonomisation des artistes, est en voie…
L’une des meilleures façons de ne pas subir les pressions et injonctions diverses des maisons de disque reste de tracer sa route en marge de l’industrie musicale, et de se produire en « indé ». C’est le cas de Le Juiice, Joanna, Thérèse ou encore Julie Budet, du groupe Yelle.…
Avis de tempête dans l’industrie musicale. Les femmes artistes n’hésitent plus à dénoncer le sexisme qui ronge ce milieu depuis toujours, mais en plus, elles portent, dans leurs textes ou dans les médias, des combats toujours plus engagés.
Si en 2021 t’es pas engagé·e dans une asso, t’as raté ta vie ! Après une année de repli sur soi forcé, voici venu le temps de la solidarité. Car la troisième vague sera sociale. La précarité va frapper de plein fouet. On le sait, ça...
« Espèce de Bisounours, va ! » Quiconque ose défendre l’idée d’une société solidaire et égalitaire est aujourd’hui renvoyé dans les cordes de la bien-pensance.
Si les profs ont du mal à tenir, c’est en grande partie parce qu’ils et elles souffrent d'un injuste décalage entre leur réalité, pas rose tous les jours, et l’image ingrate qui leur est renvoyée de leur métier.