Pour tester vos connaissances sur Wonder Woman, Causette vous propose de deviner quelles affirmations concernant la super héroïne sont authentiques. Rendez-vous à la fin pour connaître votre score.
Résultats
Malheureusement, c'est foiré. Il vous faudra réviser (les détails des réponses sont en dessous !). Mais pour nous, vous êtes Wonder quand même.
#1. En 1961, dans le numéro 300 d’Action Comics, Diana donne naissance à l’enfant qu’elle a conçu avec Aquaman. Le bébé super-héros, fait d’algues, gagnera lui aussi son comics attitré.
#2. En quittant l’île pour ramener le pilote Steve Trevor à bon port, Diana Prince a laissé l’amour de sa vie sur Themyscira.
#3. Avant d’être vendeuse de vêtements, Diana Prince a été éditrice de romans à l’eau de rose.
#4. En 2004, avant d’être élu président des États-Unis, et pour la promo de sa téléréalité The Apprentice, Donald Trump a confié dans une interview-fleuve à Vanity Fair, que son plus grand fantasme était que sa fiancée, Melania Trump, l’accueille dans leur suite déguisée en Diana.
#5. Les hommes n’ont tellement jamais mis un pied sur Paradise Island que même le langage des Amazones en est différent.
#6. En 2017, à sa sortie, le film de Patty Jenkins a été banni au Liban.
Réponses
1. Faux. Le mix aurait donné un gloubi-boulga de superpouvoirs assez étrange. Mais Wonder Woman a bien eu un enfant avec… Superman. Alors qu’il se sépare de Loïs, Clark sombre dans l’alcool et sort avec Diana qui tombe enceinte (non non, ce n’est pas un épisode de Desperate Housewives). Hunter Prince naît et il rejoint la bande de justiciers des autres rejetons de super-héros. Sacrée clique.
2. Vrai. En septembre 2016, dans les pages du comics qui lui est consacré, Wonder Woman confie à Steve qu’il a été difficile de dire au revoir à une guerrière en particulier, Kasia. Lors de cette scène d’adieu déchirante sur l’île, Kasia déclare à son amoureuse qu’elle a le cœur brisé.
3. Vrai. Dans le numéro 97 de Sensation Comics, publié en juin 1950, moment du virage traditionaliste dans l’univers des super-héros, l’Amazone travaille dans une maison d’édition entre deux séances shopping. Franchement, à quoi bon avoir des pouvoirs si on peut éditer du Harlequin ?
4. Faux. Mais, vu la classe du « gros monsieur orange », on ne va pas se mentir : il a dû déjà y penser très fort.
5. Vrai. Les guerrières ne pensent pas en termes de genre et donc, leur vocabulaire suit. Jamais vous n’entendrez une Amazone parler de « Policeman » (in english) ou de « bonhomme » (in french), le concept d’homme n’existe tout simplement pas.
6. Vrai. La sortie en salles a donné lieu à une promo tumultueuse. Un post Facebook de 2014 écrit par l’actrice israélienne qui incarne la super-héroïne, Gal Gadot, est sorti des limbes d’Internet. Celle qui a servi l’armée de son pays y condamnait le Hamas, mouvement islamiste actif dans les territoires palestiniens soutenu par le Liban. On vous avait prévenu que Diana était furieusement politique. En attendant, pro-israélienne ou non, si Gal Gadot avait été un homme, l’aurait-on enquiquinée à ce point ? Pas certain.
