Avant le verdict jeudi, le Chilien Nicolas Zepeda affronte mardi un nouveau round de questions devant les assises de la Haute-Saône, où il comparaît en appel pour l’assassinat de Narumi Kurosaki, son ex-petite amie japonaise.
Onzième jour du procès : dans une salle des assises bondée, Me Sylvie Galley, l’avocate des proches de Narumi, est la première à porter le fer. Voix douce et questions affûtées, elle pousse à de multiples reprises dans ses retranchements l’accusé, placé face à ses contradictions et ses versions souvent à géométrie variable. Puis l’avocate exhume des messages adressés par le Chilien à la jeune étudiante, qu’il a connue au Japon en 2014 alors qu’elle était encore mineure, selon la loi japonaise.
“Bonne femme”, “bonne fille”
Celui qui a été le premier petit ami de Narumi lui intime d’être “une bonne femme”,[…]