A Rocherfort, une plon­gée dans l’univers aqua­tique et oni­rique de l’artiste Elsa Guillaume

La Corderie Royale de Rochefort a offert une carte blanche à la plas­ti­cienne Elsa Guillaume pour inves­tir son espace d’exposition tem­po­raire. Seule recom­man­da­tion : une créa­tion enga­gée du côté de l’imaginaire, qui rende hom­mage au poten­tiel poé­tique de la mer. Elsa Guillaume rem­plit ces condi­tions haut la nageoire.

Capture d’écran 2022 03 16 à 10.36.38
Elsa Guillaume ©DR

Une petite déam­bu­la­tion abys­sale, ça vous dit ? C’est ce que pro­pose la plas­ti­cienne Elsa Guillaume au fil de son expo « Bathyskaphos ». Quatre salles d’expositions qui, entre décors, pro­jec­tions, céra­miques, sculp­tures et ins­tal­la­tions, nous plongent dans l’univers aqua­tique et oni­rique de l’artiste. Un tra­vail qui conjugue l’émerveillement et l’effroi, face aux dégra­da­tions que notre civi­li­sa­tion inflige à l’ensorcelant macro­cosme des abysses. Rencontre et cau­sette au fil de l’eau. 

Causette : Le titre de l’exposition « Bathyskaphos », est une invi­ta­tion au voyage sous-​marin ? 
Elsa Guillaume : En effet, les bathy­scaphes ce sont des engins d'exploration abys­sale. J’aime beau­coup le mot lui-​même, for­gé à par­tir du grec bathús « pro­fond », et ska­phê « barque ». Ce qui m’intéresse ce sont ces ten­ta­tives d’explorations, de toutes les époques. Même dans[…]

Vous êtes arrivé.e à la fin de la page, c’est que Causette vous passionne !

Aidez nous à accom­pa­gner les com­bats qui vous animent, en fai­sant un don pour que nous conti­nuions une presse libre et indépendante.

Faites un don

La suite est réservée aux abonné·es.

identifiez-vous pour lire le contenu

ou

abonnez-vous

 

Partager
Articles liés