En adaptant librement Passion simple, court récit impétueux signé Annie Ernaux, la cinéaste Danielle Arbid offre un premier rôle passionnant d’ambivalence à Laetitia Dosch. Rencontre avec une actrice solaire, libre, sans filtre…
Causette : Étiez-vous familière de l’œuvre d’Annie Ernaux avant d’accepter de jouer le rôle principal du film de Danielle Arbid ?
Laetitia Doch : Oui, je connaissais bien son univers. Deux de ses livres m’avaient frappée en particulier. Mémoire de fille, qui raconte la perte de sa virginité. J’avais trouvé cela très courageux. Et puis La Femme gelée, qui revient sur sa vie de femme[…]