
Depuis le durcissement de la loi sur la désinformation en ligne, avec l’extension au numérique du délit d’entrave à l’avortement en 2017, les pro-vie français·es se sont discrètement déplacé·es sur Facebook, où ils et elles étendent leur influence en avançant toujours masqué·es. Leurs armes ? Des contenus sponsorisés à coups de milliers d’euros pour mieux attirer les jeunes femmes dans leurs filets numériques et une sémantique toujours plus perverse.