Souvenez-vous de votre dernière soirée pré-confinement. Autour d’un petit vin de messe avec vos ami·es, vous vous demandiez benoîtement s’il était bien sérieux d’exhiber une partie de votre corps en enfilant un mini-short. Puis, vous avez débattu des meilleurs moyens d’être délivrées de l’homosexualité et des attaques démoniaques de la pornographie. Dans la pièce à côté, votre conjoint s’interrogeait : « comment diable aimer une femme qui n’est pas encore soumise ? »
Ces souvenirs ne vous disent rien ? Rassurez-vous ! Toutes ces questions que vous ne vous poserez jamais, le site fréquencechrétienne.fr, y répond pour vous. Et ça vaut le détour.
Au milieu d’un grand nombre d’articles somme toutes de bonne Foi, le « site référence de notre vie chrétienne » propage donc sa bonne parole en oubliant semble-t-il, quelques années/siècles/millénaires (rayez la mention inutile) d’évolution de la condition féminine.
Mais finissons sur une note plus festive avec les conseils de Fréquence chrétienne pour Halloween. Le 31 octobre prochain, n’oubliez ainsi pas qu’avant d’être l’occasion de boire un jus de citrouille alcoolisé entre amis, « la fête païenne est avant tout la période où les satanistes et sorciers prient pour l’avortement, les divorces, les morts infantiles, la chute de l’Église, l’adultère, les viols et tout ce qui s’ensuit ». Un bon scénario de film d’horreur.