Les syndicats dénoncent un « abandon de la psychiatrie publique », des conditions de travail déplorables et un manque d’effectif. Pour favoriser les recrutements, ils et elles défendent une augmentation de « 20 % à 25 % » des salaires.
Après les urgences cet été puis la pédiatrie cet automne, c’est au tour de la psychiatrie publique de se mettre en grève. Quatre syndicats de psychiatres hospitaliers – l'Intersyndicale de la défense de la psychiatrie publique (IDEPP), le Syndicat des psychiatres d'exercice public (SPEP), le Syndicat des psychiatres des hôpitaux (SPH) et l'Union syndicale de la psychiatrie (USP) – appellent à une journée de mobilisation et de grève[…]