Dix-huit mois de prison, dont douze avec sursis, ont été requis lundi à l’encontre de Marc Hébert, figure du syndicat Force ouvrière (FO) dans le Finistère, pour harcèlement et agressions sexuelles.
“Je vois dans ce dossier l’expression d’une forme de toute-puissance”, a lancé le représentant du parquet, Antoine Bouriaud, devant le tribunal correctionnel de Brest, en pointant un “comportement particulièrement choquant, car c’est celui d’un responsable syndical”.[…]