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© @evasteinitz

Éva Steinitz, pucière : “Pour exis­ter aux puces de Saint-​Ouen, on doit savoir pour­quoi on vient chez toi et pas le voisin."

Dans sa bou­tique du mar­ché aux puces de Saint-​Ouen, Éva Steinitz, 41 ans, vend les pièces qu’elle chine. Son outil : l’œil. Sa bous­sole : le beau.

“Je viens d’une famille d’antiquaires : mon grand-​père, mon père, mon oncle et mes tantes ont fait ou font ce métier. J’ai été éle­vée dans l’amour du beau. J’ai gran­di dans un appar­te­ment à Paris, dans le 9e arron­dis­se­ment, rue Drouot, pile en face de l’Hôtel Drouot, lieu his­to­rique de ventes aux enchères. Mes parents fré­quen­taient essen­tiel­le­ment des anti­quaires. Chez nous, c’était meu­blé comme une gale­rie, avec des pièces qui tour­naient. Dès 12 ans, j’ai eu une coif­feuse Empire du XIXe siècle. Je l’ai tou­jours, elle fait par­tie de moi.[…]

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