Alexandre, la relève de l'ostréiculture familiale

Chaque mois, on demande à quelqu’un·e pour­quoi il ou elle se lève le matin. La réponse en dessins. 

Huitres 031
© Illustrations : Camille Besse

Chez les Prod’homme, on est ostréi­cul­teur depuis trois géné­ra­tions. Alexandre, 41 ans, n’a pas vrai­ment eu le choix. « Mon grand-​père était marin. À l’époque, comme il n’y avait pas de retraite, l’État nous don­nait des par­celles pour com­plé­ter les reve­nus des familles. Ma grand-​mère a com­men­cé en 1948. Beaucoup de Cancalais étaient petits par­queurs. On tra­vaillait les huîtres dans le garage. Pendant les fêtes de fin d’année, il y en avait même dans la cui­sine de ma grand-​mère. Jusque dans les années 1960, où l’activité s’est pro­fes­sion­na­li­sée. Les gros ont vou­lu virer les petits, ma mère a rache­té les parcs de la famille. Nous sommes deve­nus exploi­tants pro­duc­teurs. »
C’est ici que l’on[…]

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