capture decran 2022 11 08 a 11.14.34
Les quatre sœurs s’adressent à des défenseurs des droits de l'homme depuis une cellule de rétention, au poste-frontière de Verkhnii Lars, entre la Russie et la Géorgie. ©Capture d'écran YouTube

Le cal­vaire de quatre sœurs russes rete­nues pen­dant onze heures à la fron­tière géorgienne

Les quatre jeunes femmes, qui ten­taient de fuir la Russie où elles étaient vic­times de vio­lences domes­tiques, ont été rete­nues pen­dant onze heures à un poste-​frontière fin octobre, rap­porte Le Monde.

C’est une his­toire gla­çante que rap­porte Le Monde ce 8 novembre. Celle de quatre sœurs russes rete­nues pen­dant onze heures au poste-​frontière de Verkhnii Lars entre la Russie et la Géorgie. Aminat, Padimat, Khizrieva et Padimat fuyaient leur pays, non pas à cause de l’offensive mili­taire en Ukraine, mais parce qu’elles subis­saient des vio­lences domes­tiques sys­té­ma­tiques dans leur famille.

Leurs visages sont appa­rus pour la pre­mière fois le soir du same­di 29 octobre alors qu'elles étaient rete­nues au poste-​frontière depuis plu­sieurs heures déjà. Des chaînes Telegram puis des sites d’information indé­pen­dants russes dif­fusent une courte vidéo envoyée un peu plus tôt aux défen­seurs des droits de l’homme. Dans celle-​ci, les quatre sœurs1 ori­gi­naires du Daghestan – une répu­blique russe[…]

Vous êtes arrivé.e à la fin de la page, c’est que Causette vous passionne !

Aidez nous à accom­pa­gner les com­bats qui vous animent, en fai­sant un don pour que nous conti­nuions une presse libre et indépendante.

Faites un don
  1. Il s’agit en réa­li­té de deux sœurs et leurs cou­sines, mais l’appellation « frères » et « sœurs » est cou­ram­ment uti­li­sée en russe pour par­ler de cousin·es[]

La suite est réservée aux abonné·es.

identifiez-vous pour lire le contenu

ou

abonnez-vous

 

Partager
Articles liés