Centenaire – Brassens : pion­nier du fémi­nisme ou fief­fé miso­gyne ? 1/​2

Ce 22 octobre marque le centenaire de la naissance de Georges Brassens. Libertaire, anticonformiste, parfois grivois, souvent moderne pour son époque, le chanteur laisse une œuvre plurielle, souvent géniale, mais parfois douteuse quant à sa vision des femmes. Exégèse féministe, en toute subjectivité.

Brassens TNP 1966
© Roger Pic - BNF

Il en va souvent ainsi de l'affection impérissable que l'on porte à Georges Brassens : elle se transmet par la famille. Par l’enfance. Il y a quelques années, alors que j’étais déjà bien entrée dans l’âge adulte, nous avons écouté pour la millième fois peut-être mon album favori de Brassens avec mes parents. En entendant les paroles de la Non demande en mariage, je lançais à ma mère que, décidément, Brassens était sacrément féministe pour son époque. Tandis que ma mère approuvait, mon père sourcillait et s’inscrivait en faux : au contraire, tança-t-il, Brassens était un fieffé misogyne, il n’y avait qu’à se pencher en profondeur sur les textes. Nous passions, ma mère et moi, à côté de quelque chose si nous ne le voyons pas. Ainsi mansplainnées par mon père, nous l'avons womansplainné en retour, dégainant les titres et les couplets comme autant de preuves que c’était lui qui n’avait rien compris à l’essence féministe du grand Georges.

Brassens aurait détesté ce débat. Comme le dit Clémentine Deroudille, journaliste et autrice à qui l'on doit la fabuleuse exposition Brassens ou la liberté, sise à la Cité de la musique à Paris il y a dix ans : « il n'aurait pas aimé qu'on lui accole l'adjectif de féministe car il refusait toute catégorisation idéologique. » Il n'empêche, le souvenir de cette conversation avec mes parents me pousse aujourd'hui à tenter de voir plus clair dans l'œuvre de cet anti-conformiste libertaire : les chansons que je fredonne depuis l'enfance passeraient-elles aujourd'hui la barre de mes exigences féministes ? Pas du tout, à en croire le journaliste culturel Antoine Perraud. En août, il a consacré le 4ème et dernier volet de sa série Brassens pris au mot au rapport du chanteur avec les femmes. Le titre de l'article promet du sang : Misogynie guère à part, phallocratie galopante.

J'ai lu cette critique ahurie de voir qu'on pouvait si mal comprendre ses textes, puis l'ai fait lire à Clémentine Deroudille et Françoise Canetti, fille de Jacques Canetti, qui a révélé Brassens en le faisant jouer au légendaire cabaret des Trois baudets et en le signant chez Polydor (puisque Phillips trouvait l'homme et ses chansons trop subversifs). Les deux femmes sont tombées des nues comme moi : « Brassens est un homme de valeur, qui pose un regard bienveillant sur le monde, femmes y compris ! », lance Françoise Canetti quand je la rencontre.

Celle qui a passé sa vie à faire vivre l'héritage de son père (et a fait paraître, pour célébrer ce centenaire, un superbe coffret de quatre albums consacré à Brassens, mêlant concerts aux Trois baudets et reprises par de grand·es interprètes) a connu Brassens dès son enfance, à l'occasion de déjeuners chez ses parents. « On dit souvent qu'il faut séparer l'homme de l'artiste mais chez Brassens, les deux vont bien ensemble, observe-t-elle. Il a la même bienveillance vis-à-vis des femmes dans la vie que dans ses chansons. »

Comment se fait-il que, d'un côté, les femmes qui ont grandi avec Brassens considèrent qu'il est un grand allié de leur émancipation et que, de l'autre, des hommes le perçoivent comme profondément misogyne ? Aidée par Clémentine Deroudille et Françoise Canetti, j'ai plongé dans l'œuvre. Il en ressort que, pour un homme né il y a un siècle, le 22 octobre 1921, Brassens a fait preuve d'une grande modernité dans sa manière de nous envisager. Certes, il y a le Brassens grivois et celui qui chante la culture du viol avec plus ou moins d'ironie. Mais entre son soutien aux prostituées et aux femmes libres d'aimer, ses considérations pour le plaisir féminin et sa critique de l'aliénation du couple, on peut dire qu'il aura fait plus de bien que de mal à notre cause. Suivez le guide, et montez le son.

1) Liberté sentimentale et sexuelle des femmes 

Ce sont des paroles qui, lorsque nous nous les chantions dans la cour du collège avec ma meilleure amie, nous ouvraient un océan des possibles. « De Pierre à Paul en passant par Jules et Félicien / embrasse-les tous, embrasse-les tous / Dieu reconnaîtra le sien. » Embrasse-les tous fait partie de ces titres de Brassens, qui autorisent (par leur soutien) à la transgression de la monogamie et, plus encore, s’amusent de l’infidélité féminine. Brassens n’aime pas les femmes rangées mais les femmes libres. « Ses personnages féminins sont des femmes fortes qui usent de leur libre-arbitre sans souci des conventions, abonde Françoise Canetti. Dans Les amours d’antant, il décrit la légèreté des relations entre une femme et un homme, dans lesquelles ces dernières sont pro-actives. » « Je te plais, tu me plais, viens donc beau militaire », fait-il dire à l’une d’elle. 

L’infidélité des femmes mariées est pour Brassens un terreau fertile d’histoires tordantes, façon théâtre de boulevard. Dans A l’Ombre des maris (« ne jetez pas la pierre à la femme adultère, je suis derrière »), il raconte sélectionner ses maîtresses en fonction de sa bonne entente avec leurs maris. Cela lui permet, lorsque la maîtresse se lasse de cette incartade pour une autre, de se lier d’amitié avec l’officiel, lui aussi sur le carreau : « Et je reste, et, tous deux, ensemble on se flagorne / moi, je lui dis "C'est vous mon cocu préféré" / il me réplique alors "Entre toutes mes cornes / celles que je vous dois, mon cher, me sont sacrées". » La Traitresse est aussi narrée du point de vue de l’amant mais cette fois-ci, la trahison de la maitresse vient du fait qu’elle se consacre à nouveau à son mari : « Trouverais-je les noms, trouverais-je les mots / pour noter d'infamie cet enfant de chameau / qui a choisi son époux pour tromper son amant / qui a conduit l'adultère à son point culminant. » La messe est dite : chez Brassens, ce n’est pas des femmes inconstantes qu’on se moque mais des hommes qui voudraient les enferrer.  

2) Désir et plaisir féminins 

Commençons par le désagréable. Dans les textes des chansons de Brassens, une figure revient souvent, dénotant d’une agaçante obsession. Celle de la « nymphomane », qui a même les honneurs d’un titre interprété par Jean Bertola. « J'ai beau demander grâce, invoquer la migraine / les joies charnelles me perdent / sur l'autel conjugal, implacable, elle me traîne / les joies charnelles m'emmerdent. » Si de prime abord cette chanson évoque un intarissable désir féminin (ce qui, observons-le, a le mérite d’aborder le sujet du désir des femmes, longtemps nié), ne lève-t-elle pas surtout le tabou de l’absence du désir masculin ?  

D’apparence grivoise, Quatre-vingt-quinze pour cent torpille, elle, les certitudes masculines en matière de sexe. Dedans, Brassens y parle de simulation (« de pieux mensonges », « à seule fin que son partenaire se croit un amant extraordinaire ») et n’hésite pas à vexer ses congénères : « Quatre-vingt-quinze fois sur cent / la femme s’emmerde en baisant / qu’elle le taise ou qu’elle le confesse / c’est pas tous les jours qu’on lui déride les fesses / les pauvres bougres convaincus / du contraire sont des cocus. » Pire : lorsqu’elle est amoureuse, dit Brassens, « elle s’emmerde sans s’en apercevoir. » Une manière acide d’interpeler sur le plaisir féminin, trop souvent dédaigné par les hommes et parfois même oublié des femmes lorsque, par sentiment, elles n’osent le revendiquer.  

Cette considération absolument moderne se retrouve aussi dans le sibyllin Le Blason, qui évoque sans jamais le nommer le sexe féminin. Après avoir digressé sur les surnoms plus ou moins scabreux qui lui sont donnés – dont « le pire de tous est un petit vocable [con, ndlr] / de trois lettres, pas plus, familier coutumier / il est inexplicable, il est irrévocable / honte à celui-là qui l’employa le premier » - Brassens espère qu’un jour « un poète inspiré » trouvera un terme moins salissant pour le nommer. Et de conclure : « En attendant Madame, il semblerait dommage / et vos adorateurs en seraient tous peinés / d’aller perdre de vue que pour lui rendre hommage / il est d’autres moyens et que je les connais. » Un érotisme ouvrant la perspective à une étreinte dans laquelle l'homme se soucie du plaisir de sa partenaire.

3) La dignité des prostituées 

Dans l’univers de Brassens, le personnage de la prostituée - la plupart du temps sous la coupe d’un mac qui n’est rien d’autre que son compagnon - est récurrent. Honnêtes travailleuses au service du réconfort de ces messieurs, elles remplissent dans La Complainte des filles de joie un rôle d’assistance sociale vis-à-vis d’une masculinité crasse : « Y a des clients y a des salauds qui se trempent jamais dans l’eau, faut pourtant qu’elles les cajolent, parole, parole », ce qui plus loin amène à l’évidence, « les sous croyez pas qu’elles les volent, parole, parole ». La Complainte, c’est en fait, à rebours de son époque, un regard corrosif sur l’hypocrisie de la société bourgeoise qui bannit ces filles de rien mais en profite à la nuit tombée. « Cette chanson lui a été inspirée après une conversation qu’il a eue avec un homme se moquant de ces femmes, souligne Clémentine Deroudille. Après sa sortie, un syndicat de travailleuses du sexe lui écrira une lettre de remerciements pour le soutien. »  

Comme souvent chez Brassens, ce sont finalement les hommes qui en prennent pour leur grade. Dans Le Mauvais sujet repenti, le narrateur mansplaine une prostituée débutante sur son métier avant de la mettre sous sa coupe. Il renonce par la suite à son statut de maquereau parasite lorsque sa « pauvre amie » attrape une infection sexuellement transmissible, non sans reconnaître sa lâcheté : « comme je n’étais qu’un salaud, j’me fis honnête ». C’est de cette figure d’homme cupide vendant le corps des femmes dont Brassens se moque, souvent dépeinte - en contraste avec une prostituée à la fois besogneuse et courageuse - dans son irresponsabilité et son alcoolisme. Le « plus soûlaud que moi » qui vend sa femme au narrateur de La fille à cent sous perd sa source de revenus puisque « Ninette » décide de son plein gré de quitter ce mari prostituteur pour filer avec l’autre qui lui montre de la compassion, puis de l’amour.  

Loin d’un rapport de domination suscité par des pulsions sexuelles masculines, c’est ce même mélange de respect et de tendresse envers celle qui donne son corps que raconte La Marine (écrite non pas par Brassens mais Paul Fort). « Y a dans la chambre une odeur d’amour tendre et de goudron, ça vous met la joie au cœur, la peine aussi et c’est bon », raconte-t-il au sujet des relations d’escale dans les ports. Sans que l’on sache précisément s’il s’agit de prostitution ou d’une aventure d’un soir, La Marine nous dit que : « Toutes les joies, tous les soucis des amours qui durent toujours, on les trouve en raccourci dans nos p’tites amours d’un jour. » Ce n’est pas tant le sexe qui intéresse l’auteur mais la rencontre intime qu’il suscite.

4) Survivre avec son corps 

La « misérable salope » de Putain de toi « couru sans vergogne et pour une escalope se jeter dans le lit du boucher. » Si l’insulte parait sexiste, elle est utilisée au masculin dans Le Mauvais sujet repenti. Alors ? Alors il n’y a dans Putain de toi pas de morale sexiste ou féministe, juste la description d’un état de fait, à une époque où l’émancipation des femmes par le travail n’était pas encore acquise. Pour écouter Brassens sereinement en 2021, « il faut bien comprendre qu’il ne jugeait pas mais qu’il était dans l’observation perspicace des choses de la vie », souligne Clémentine Deroudille. 

Le thème de la femme trouvant protection auprès d’un homme qui peut l’entretenir se retrouve aussi dans la superbe et mystérieuse Le Père Noël et la petite fille, où le déséquilibre des positions sociales pointe dès le titre. Ici, le terme Père Noël symbolise l'homme riche et la « petite fille » n'est pas à envisager comme une enfant mais comme une fille pauvre. Dans cette chanson, l'homme riche débarque dans la vie de la fille pauvre pour lui offrir une autre condition. « Toi qui n’avais rien sur le dos / il t’a couverte de manteaux / il t’a vêtue comme un dimanche / tu n’auras pas froid de sitôt / il a mis l’hermine à ta manche / il a mis les mains sur tes hanches. » On ne sait rien d’autre de cette relation (la « petite fille » est-elle amoureuse de cet homme ? Feint-elle ?) qu’elle permet à celle à qui elle s’adresse de s’extraire de la pauvreté. On peut à loisir laisser notre imagination broder sur cette rencontre. La conclusion est, elle, particulièrement bienveillante : « Tire la belle, tire le rideau / sur tes misères de tantôt / et qu’au dehors, il pleuve, il vente / le mauvais temps n’est plus ton lot. » « On peut imaginer qu’il s’agit d’une relation d’emprise, propose Françoise Canetti, mais dans laquelle la jeune fille trouve son compte en toute conscience. Cela pose la question à celui qui écoute : "qui êtes-vous pour juger les femmes qui se sortent de la misère en cédant à un mariage qui va leur assurer une sécurité financière ?" »

5) Le consentement en question

Si, nous l’avons vu plus haut, Brassens loue le désir partagé, il publie aussi des titres dans lesquels le consentement des femmes laisse à désirer. A l’ombre du cœur de ma mie reprend le conte de la Belle au bois dormant. Affublée d’un oiseau protecteur, la jeune fille qui fait « semblant » de dormir est la cible d’une tentative de baiser de la part du narrateur. « Alors cet oiseau de malheur / se mit à crier “Au voleur !” / “Au voleur !” et “À l’assassin !”/ Comm’ si j’en voulais à son sein. » Cette alerte précipite le secours de la belle par son père (un autre protecteur) et le repli du narrateur sur le monde rassurant de la chasse à l’arbalète dans les bois. Brassens semble nous dire ici que si un homme est empêché dans son opération séduction, sa nature prédatrice s’épanouira sur un autre terrain. Rien d’irrémédiable cependant : dans Putain de toi, la déconvenue sentimentale provoque le repli du poète « dans la lune, en emportant [ses] cornes, [ses] chansons, et [ses] fleurs et [ses] chats. »

Une autre chanson pourrait s’apparenter aujourd’hui à la culture du viol. Dans Je suis un voyou, Brassens chante, devant les réticences de Margot (prénom campant, dans l’univers du chanteur, l’image d’Épinal d’une jeune paysanne innocente) à se livrer à ses ardeurs : « Alors j’ai mordu ses lèvres / pour savoir leur goût / elle m’a dit, d’un ton sévère : / “qu’est-ce que tu fais là ?”/ mais elle m’a laissé faire / les filles, c’est comme ça. » Pour Françoise Canetti, « ce n’est pas pour rien que la chanson se nomme Je suis un voyou » : à ses yeux, Brassens se moquerait des harceleurs sexuels plus qu’il ne leur rendrait grâce.

Notons que Brassens s'est aussi penché sur la pédocriminalité, dans La Princesse et le croque-notes. Dedans, un homme de trente ans décline les avances d'une jeune fille de 13 ans. « Grosse différence et je ne suis pas chaud / pour tâter d'la paille humide du cachot » Ainsi, ce qui retient le croque-notes de succomber à la tentation d'une enfant, c'est la peur de la prison. Pas ouf. D'autant que si le musicien essaie de faire comprendre à l'enfant que la relation qu'elle lui propose - « mon cœur est déjà pris par une grande » -, il reviendra sur sa décision par la suite : « Passant par là quelques vingt ans plus tard / il a le sentiment qu'il le regrette. » En argumentant contre le détournement de mineur en pointant seulement les risques judiciaires, et en montrant les regrets du héros de ne s'être servi, cette chanson s'inscrit dans son temps plus qu'elle ne propose, contrairement à d'autres, une vision d'avant-garde.


Coffret « Georges Brassens, elle est à toi cette chanson... »

Diffusé en exclusivité à la Fnac, le coffret de quatre albums Georges Brassens, elle est à toi cette chanson... conçu par Françoise Canetti surprendra les oreilles de celles pensant avoir écumé l'ensemble de l'œuvre.

Le premier album permet, explique Françoise Canetti « de découvrir Brassens autrement, à travers ses interprètes », pour damer le pion à celles et ceux persuadé·es qu'avec Brassens, deux accords de guitare et un « pom pom pom » final suffisent. « Mon père disait que ceux qui pensaient ça avaient vraiment des oreilles de lavabo, sourit Françoise Canetti. C'était en fait un immense mélodiste et les arrangements jazz, rock ou encore blues d'Arthur H, Sandra Nkake, Olivia Ruiz, Françoise Hardy ou encore Nina Simone révèlent toute la force de ces mélodies. »

Le deuxième album est consacré aux années Trois baudets, ces fameux débuts dans lesquels Brassens doit être littéralement poussé sur scène par Jacques Canetti. « Mon père a créé le phénomène d'artistes-interprètes, poussant les auteurs de chansons à interpréter leurs textes, parce qu'il croyait en eux, explique Françoise Canetti. Brassens, Brel, Vian : tous étaient à la base très mal à l'aise de se donner en spectacle mais mon père les encourageait avec bienveillance, parce qu'il avait vu leur immense potentiel. C'était un accoucheur de talent, qui ne dirigeait pas ses artistes comme d'autres dans le show business mais préférait suggérer en posant des questions, du type : Georges, pensez-vous que cette chanson soit à la bonne tonalité ? De fait, Brassens, qui aimait donner des surnoms à tout le monde, l'appelait Socrate. » Dans cet album, au milieu des classiques sont intercalées des morceaux d'interviews de l'artiste sur son travail, particulièrement émouvants.

Le troisième album est consacré aux artistes des premières parties de Brassens (Boby Lapointe, Maxime Le Forestier, Barbara, Rosita...) pour souligner le grand sens de l'amitié du chanteur. « Il s'est toujours rappelé que Patachou en premier puis mon père lui avaient tendu la main vers le succès et a mis un point d'honneur à faire de même pour de nombreux artistes débutant en retour. » Quant au quatrième CD, il rend grâce à son inséparable meilleur ami, le poète René Fallet. Une série de textes amoureux inédits de l'homme de lettres, mis en musique, à la demande de Brassens, par la mère de Françoise Canetti Lucienne Vernet, sont interprétés par Pierre Arditi. Exquis !

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Georges Brassens, elle est à toi cette chanson..., 25 euros, en vente à la Fnac.

Lire aussi : Centenaire de Brassens : décryptage féministe de ses chansons 2/2

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