Secrets de la jouis­sance, le vrai du faux – Le point G est-​il un mythe ?

Secrets de la jouissance, le vrai du faux en 30 questions – 7/30

C’est l’été dans les culottes ! Pourtant, la jouissance se prête encore aux fake news les plus farfelues. Le point G, les femmes fontaines, l’orgasme mammaire… bons plans ou arnaques ? On s’y perd, tant les croyances improbables sur la sexualité, le plaisir et ses aboutissements n’en finissent pas de fleurir. Causette vous a donc concocté trente infos d’utilité publique sur l’orgasme – avec, dans le lot, de quoi s’ambiancer à l’apéro. Aujourd'hui on se penche sur le mystère du point G.

Le point G n’existe pas - VRAI et FAUX
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Que n’a-t-on pas dit (et entendu !) sur le point G... Baptisée ainsi en 1981 en référence au médecin allemand Ernst Gräfenberg, qui l’identifia en 1950, cette zone érogène située sur la paroi antérieure du vagin a longtemps été présentée comme la porte d’entrée vers le septième ciel. Et pas n’importe lequel : l’orgasme vaginal, s’il vous plaît ! Sauf qu’après des décennies d’injonctions à trouver ce fameux Graal – et autant de quêtes infructueuses –, voilà qu’on nous explique maintenant que le point G ne serait rien qu’un mythe, à l’instar de l’orgasme vaginal. De quoi y perdre son va... heu... son latin. Alors ? Si la question n’est pas tranchée, on sait désormais qu’il existe bel et bien une zone érogène, à quelques centimètres de l’entrée du vagin. Non pas UN bouton magique, mais une surface constituée de cinq tissus différents (certains liés au clitoris, d’autres non), qui joue un rôle dans l’éjaculation féminine et dont la sensibilité diffère selon les femmes. Moralité : remballons les GPS.

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