Un film sur le Liban dans les années 50 de Carlos Chahine et un drame de Kôji Fukada qui ausculte une famille japonaise dans le deuil.
La Nuit du verre d’eau
Deux crises, sinon deux révolutions, se font écho dans ce premier film soigné. La crise d’un ( jeune) État, puisqu’il nous projette au Liban, en 1958, dans un village de montagne apparemment préservé – mais plus pour très longtemps – des tensions politiques et religieuses qui sévissent alors à Beyrouth. Et la révolution d’une (jeune) femme, puisqu’il nous entraîne[…]