S’inspirant d’Un an après, l’autofiction qu’Anne Wiazemski a publiée chez Gallimard, Le Redoutable dresse un portrait acide quoique amusé du cinéaste culte d’A bout de souffle.
D’ de Kabal, le laborantin du masculin
Slameur, musicien, acteur, écrivain de 43 ans, D’ de Kabal m’a contacté pour évoquer ses « laboratoires de déconstruction et de redéfinition du masculin par l’art et le sensible ». Un intitulé à la Dali sur un sujet qui n’a rien de surréaliste.