En avril, ne te découvre pas d’un fil. Et pourtant, je suis là, nue comme un ver, jambes écartées, les pieds dans les étriers et les seins à l’air, face à ma gynécologue qui me pénètre avec son affreux spéculum tout en me demandant gentiment si ce n’est pas trop froid. Je supporte, courageuse, l’épreuve du frottis qui farfouille mes entrailles et celle de la main gantée qui palpe mes ovaires. Puis je commence à me détendre sous les dix doigts experts qui me malaxent les deux seins, quand[…]
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