Le 19 janvier, les membres du groupe Renaissance et députés apparentés ont déposé une proposition de loi sur « la peine complémentaire d'inéligibilité » des membres du gouvernements et des élu·es violent·es, cosignée par l'ex-ministre des Solidarités et de la Santé, accusé de viols.
Nouvelle polémique pour Damien Abad. Une proposition de loi a été portée par les membres du groupe Renaissance et les députés apparentés Ensemble pour « étendre le champ d’application de la peine complémentaire d’inéligibilité » à toute personne qui, au moment des faits de violence pour lesquels elle est condamnée, exerçait « une fonction de membre du Gouvernement ou un mandat public électif ». Une loi cosignée, jeudi dernier à l’Assemblée nationale, par le député de la majorité actuellement visé par une enquête pour « tentative de viol » .
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