En ce 5 mai, journée internationale des sages-femmes, le Conseil national de l’Ordre des sages-femmes dresse un tableau noir de la profession, qui n'attire plus et alerte sur les conséquences sur la santé des femmes.
Après avoir interpellé les candidat·es durant la campagne présidentielle, c’est l’attention de celles et ceux qui comptent se présenter aux législatives que l’Ordre des sages-femmes souhaite attirer en cette journée internationale des sages-femmes. Cette frange du personnel soignant – qui s’occupe, en plus des accouchements, du suivi des grossesses, du post-partum, de la contraception, de la vaccination, des consultations gynécologiques de prévention, de la pratique des IVG médicamenteuses… – se porte particulièrement mal. À la suite à une grande enquête lancée en juin 2020, le Conseil de l'Ordre des sages-femmes a dévoilé que, sur les 24 000 sages-femmes françaises, des[…]