À l’occasion du Black Friday, Amnesty International dévoile un rapport accablant sur la manière dont le géant américain traite ses employé·es et leurs organisations syndicales.
La société de consommation a ses grandes messes et le Black Friday en fait partie. Cette année, Amazon a accepté, à la demande du gouvernement, de décaler cette journée promotionnelle au 4 décembre en France, au lieu du 27 novembre, pour s’inscrire après la réouverture des commerces physiques. « Je veux offrir aux consommateurs français une journée qui leur permettra de faire des millions d’euros d’économie », assurait Frédéric Duval, le directeur général d’Amazon France au micro de TF1, le 19 novembre. De son côté, Amnesty International « offre » à la firme de Seattle un véritable vendredi noir, en publiant un rapport acerbe sur ses pratiques entrepreneuriales en France, au Royaume-Uni, en Pologne et aux États-Unis.
Licenciements suite aux inquiétudes des salarié·es face à la Covid
Amazon est sans conteste le grand gagnant de la crise sanitaire. Depuis mars 2020, le[…]