La cour d’appel de Paris examinera le 13 décembre l’appel de Sophie Patterson-Spatz contre le non-lieu prononcé cet été en faveur du ministre de l'Intérieur, qu’elle accuse de viol pour des faits remontant à 2009.
Un rapport sexuel « extorqué » et un « viol par surprise » selon la plaignante, une relation sexuelle consentie, après des « avances » de cette dernière selon Gérald Darmanin. Selon l'AFP, c'est mardi 13 décembre que la cour d'appel de Paris examinera l'appel de Sophie Patterson-Spatz contre le non-lieu prononcé cet été en faveur du ministre de l'Intérieur. Elle a porté plainte pour viol en 2017 pour des faits remontant à 2009.
En juillet dernier, une juge d'instruction, en accord avec les réquisitions du parquet, avait émis une ordonnance de non-lieu que s'est procuré l'AFP. Selon son journaliste Guillaume Daudin, l'ordonnance stipule d'une part que « la sincérité des déclarations » de Sophie Patterson-Spatz au sujet d'un viol « ne peut être remise en cause ». D'autre part, elle[…]