Comme pour l'interdiction d'accès aux universités quatre jours auparavant, les talibans ont justifié samedi leur nouvelle mesure liberticide par le non respect des codes vestimentaires imposés aux femmes.
Les possibilités pour les Afghanes de faire autre chose que de rester cloîtrées chez elles sont désormais réduites à peau de chagrin, avec une énième interdiction tombée sur elles samedi 24 décembre. Cette fois, le régime taliban leur interdit tout travail au sein d'une Organisation non gouvernementale (ONG), arguant que les femmes qui travaillent au sein de ces structures ne respectent pas le code vestimentaire imposé par le régime.
« Il y a eu des plaintes sérieuses concernant le non-respect du hijab islamique et d’autres règles et règlements relatifs au travail des femmes dans les organisations nationales et internationales », a affirmé le ministère chargé[…]