Wizbii, entreprise grenobloise née il y a douze ans, est restée à l’état « coolesque » de start-up. Pour preuve, il y a un baby-foot dans ses locaux, qui sont parmi les « dix plus beaux bureaux de France en 2020 », selon le journal L’ADN. Lancée comme un réseau social permettant de connecter jeunes et entreprises qui recrutent, Wizbii s’est depuis diversifiée, proposant des cours en ligne de code de la route, ou encore une mutuelle pour les étudiant·es. Dernier-né de la boîte : un service d’aide à l’identification et à la demande des aides publiques (qu’elles soient d’État, régionales ou locales), pour lutter contre le non-recouvrement des aides auxquelles peuvent prétendre les jeunes client·es de Wizbii… Moyennant une commission de 4 % par mois ! « Sans jamais dépasser 9 euros par mois », précise le site, pas franchement ému de se faire des ronds sur la phobie administrative des étudiant·es. Psst : Mesdroitssociaux.gouv.fr (accessible quel que soit l’âge) offre le même service… public !
Des ronds sur leur dos
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