Le député d’Ille-et-Vilaine Frédéric Mathieu (LFI), qui a défendu cet allongement, a expliqué que ce nombre de jours « ne remplacer[ait] jamais la perte d'un enfant » mais qu'il était nécessaire pour accomplir les démarches administratives et matérielles en lien avec un décès.
L'Assemblée nationale a adopté, jeudi soir, un amendement allongeant le congé pour le décès d’un·e enfant, en le portant de cinq à douze jours dans le code du[…]