Rapports dou­lou­reux : soigne ta chatte

Certaines femmes souffrent pen­dant les rap­ports sexuels. Plus fré­quents qu’on ne le pense, ces troubles sont sou­vent mal diag­nos­ti­qués et les solu­tions pour y remé­dier mal connues. Pourtant, il n’y a pas de fata­li­té. Faites pas­ser le message ! 

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© Marie Boiseau pour Causette

« J’ai consul­té cinq gyné­co­logues, un uro­logue, une psy­cho­logue, un homéo­pathe, un ostéo­pathe. J’ai même essayé la méde­cine chi­noise, en vain », confie Caroline, 27 ans. Trouver le bon ou la bonne soi­gnante, quand on souffre de dys­pa­reu­nie – le fait d’avoir mal pen­dant les rap­ports sexuels –, est le pre­mier défi auquel se confrontent les femmes concer­nées. Pour Caroline, il a fal­lu plu­sieurs années avant de consul­ter une kiné­si­thé­ra­peute spé­cia­li­sée qui a pu l’aider : « J’ai com­men­cé à avoir des dou­leurs à 18 ans, après une mycose mal soi­gnée. Les soi­gnants n’avaient aucune solu­tion. L’un d’eux m’a même conseillé de boire un verre de whis­ky avant de faire l’amour pour me détendre. Après plu­sieurs années, j’ai consul­té une gyné­co­logue spé­cia­li­sée dans ces dou­leurs. Elle m’a deman­dé si j’avais fait de la danse clas­sique ou de la gym. C’était le cas. Selon elle,[…]

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