Ménopause pré­coce : Y a pas de règles

La méno­pause n’est pas sou­vent accueillie avec allé­gresse. Alors, quand elle tombe bien plus tôt que pré­vu, c’est car­ré­ment violent. Le tra­vail d’acceptation est, dans ces condi­tions, d’autant plus nécessaire. 

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© Camille Besse

« Vieille avant l’heure. » Voilà com­ment Virginie, 41 ans aujourd’hui, s’est consi­dé­rée à 38 ans quand elle a fait le lien entre ses règles de plus en plus espa­cées, ses bouf­fées de cha­leur noc­turnes et la péri­mé­no­pause* qu’elle tra­ver­sait. Mêmes symp­tômes, mêmes effets qu’une méno­pause clas­sique, située entre 45 et 55 ans. Mais la méno­pause pré­coce, qui touche 10 % des femmes avant 45 ans et 1 % avant 40 ans, pro­voque chez les femmes qui en sont atteintes un sen­ti­ment ver­ti­gi­neux de mal­chance et de fatalité. 

Pour Caroline, 38 ans, « l’apprendre a été d’une grande vio­lence ». Elle a décou­vert son état d’« insuf­fi­sance ovarienne[…]

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