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Romane Bohringer : « Le regard sur le monde d'Annie Ernaux me rend meilleure »

Déjà, L’Amour flou ver­sion grand écran, on avait aimé, mais alors là, en série sur Canal+ à par­tir du 8 novembre, on adore. Romane Bohringer y raconte sa vie de famille à la suite de sa sépa­ra­tion avec le père de ses enfants. Et leur fameux concept de « sépar­te­ment ». Drôle, pro­fond et bour­ré d’autodérision.

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Romane Bohringer © Philippe Mazzoni/​Canal+

Causette : Les livres mar­quants de la « biblio­thèque » de vos parents ?
Romane Bohringer :
Dans l’appartement de mon arrière-​grand-​mère, dans la chambre où je dor­mais, il y avait sur l’étagère toute une col­lec­tion de Série noire appar­te­nant à mon père. La nuit, je me sou­viens, j’étais à la fois effrayée et intri­guée par ces cou­ver­tures noir et jaune, et leurs titres inquié­tants. Et puis Jack London, dont Martin Eden est un de mes romans pré­fé­rés. Et Albert Cossery, écri­vain égyp­tien, dont La Maison de la mort cer­taine me bouleverse.

Les lieux de votre enfance ?
R. B. :
Les pre­mières années de ma vie, avec mon père, dans le petit appar­te­ment de mon arrière-​grand-​mère, à Deuil-la-Barre,[…]

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