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Les 20 plumes fémi­nines : Yaa Gyasi

Cette année encore, on risque de se faire assom­mer par la vague des sor­ties de livres à l’occasion de la sacro-​sainte ren­trée lit­té­raire. Et pour affron­ter l’autre deuxième vague – au cas où on nous recon­fi­ne­rait –, mieux vaut s’armer de bonnes lec­tures. Causette n’a choi­si que des autrices. Discrimination posi­tive assu­mée. Des plumes belles et rebelles qui ne devraient pas vous lais­ser indemnes. Voici celle de Yaa Gyasi.

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© Peter Hurley, the Vilcek Foundation

Avec Jesmyn Ward, Tayari Jones, Rivers Solomon ou Brit Bennett, l’Américaine Yaa Gyasi s’affirme comme l’une des grandes héri­tières de Toni Morrison. Révélée en 2017 avec No Home (Calmann-​Lévy), elle revient avec Sublime Royaume, dont la paru­tion fran­çaise pré­cède de quelques semaines la paru­tion amé­ri­caine. Native du Ghana, arri­vée aux États-​Unis à l’âge de 2 ans, elle y traite à nou­veau des enfants de l’immigration afri­caine. Sans rage, mais sans peur et avec[…]

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